Dans les bois ,et quelques fois en ville. : - Petit ensemble fortifié situé au sud du village de Vandy , aprés le cimetiére, et une croix, Croix Bauchet ,. Il est implanté sur la crête militaire surplombant la vallée de l'Aisne, en plein bois et broussailles; au dessus de la route Vandy -RN 77 ;.pas la peine de voler les fruits du verger voisin, ou de scier les arbres pour aller voir les vestiges; "les sauvages, c'était avant!"."friteuse "déconseillée : çà a été attaqué avec du lourd , de "la lourde"( 155 mm) ; comme un sur dix ne pète pas , en grattant trop le sol (comme certains le font , et mal ), il y a danger. Deux blocs ; un autre , apparemment P.C , se trouve dans les bois, au dessus de "Fontaine Claire".... Un autre,blok tôlé , se trouve vers la Grande Piéce au milieu de colza, ou sorgho, ou de pistaches;ne pas déranger..( taureau Salers pas loin, en plus ,avec des cornes pires que ceux des corridas), ainsi qu'un bloc à M.G. ces deux blocs sont " étagés" : le bloc M.G,-quasi enfoui- , est situé en avant , et le blok- tôlé , est situé plus en arrière .
7Eme photo:fers recourbés en attente d'une autre couche de béton ("çà n'est pas du scratch géant!") Vallée de l'Aisne à deux km au loin. Idem 8eme photo. Guérite...de guêt et observation, autre bloc, ôtée , identique aux guêrites en fer doux à deux créneaux de vue , triangulaires, de 1916-17, françaises; une semblable se trouve, postée-posée au petit ouvrage (Maginot) de Sentzig , sur la pente entre la route-rive gauche-Moselle et le G.O du Galgenberg, Nord Thionville -rive gauche-Moselle. Blocs "rustiques", élémentaires, mais pas chers, pratiques, rapides de construction, petits , petites cibles pour tirs d'obusiers ( tirs courbes) , et cibles minuscules pour des tirs tendus : 20-30-40 cm au dessus du sol . ( hélas, les guérites françaises ne sont qu'une copie des allemandes ; combien de tués , pour la leçon ? ....). Sur le bloc-tôlé , on aperçoit une grande barre de section carrée , relevée ; il semble que ce là soit une "agraphe" , comme à Ecly , que quelqu'un a essayé , vainement , d'extraire....
Baraquement Busseneau à Quatre-Champs, survivant parmi les plus beau,x , les mieux conservés, piéces à peu d'exemplaires qui restent , à préserver , car grand témoin du passé aprés " la grande casse" de la guerre :Ces baraquements ont succédé aux maisons d' habitation, nécessairement vidées de leurs habitants, lors de l'élaboration de la Ligne; ensuite, ces maisons ont été fortifiées, comme tout le village, donc , à l'offensive, elles ont toutes été détruites ; les Ardennais du sud sont rentrés , revenus dans un immense champs de ruines ; et donc , il a fallu les aider à se loger , en érigeant toutes ces petites baraques ; Témoin de 1920-30, période pendant laquelle les Ardennais ont pu se loger et s'abriter, le temps que la Reconstruction leur termine une maison digne ; beaucoup de baraquements ont été refaits , restructurés en dur . Ce qui n'était pas forcément une bonne chose, car le bois isolait parfaitement , à l'encontre de la brique ou du béton , et , à voir celui de Quatre-Champs , " çà tient", même non peint ; mais celà devait être honteux d'habiter "dans des planches", en cabane ... ( Cf
le conte " les trois petits cochons"...) Baraquements petits : cuisine, qui servait à tout, deux chambres maximum, et " cabane au fond du jardin" , avec ou sans cailloouuuuux ; mais celà était général partout ", çà" , car :zéro "gog "; en France, en 1930 , seulement: 3% des logements étaient équipés de "water-closet", dont environ 800 à 1200 installés dans les casemates ou blocs de la Ligne Maginot!!!!! - par exemple : dans la casemate double de Guerlette , ou de de Thonne le Thil ou du Christ , il existe un W.C, chimique, à cuve à la soude , et dans chaque bloc de combat de fort, tel celui du Chesnois : un cabinet d'aisance par bloc, et en caserne : trois ou quatre . En France , les maisons "communes" ne comportaient que trois piéces ; Il existe dans les Ardennes de belles " baraques de guerre" en partie refaites, ; apparement , celle dans laquelle André Dhotel passait ses vacances , à Mont de Jeux ( et St Lambert ) est bien refaite- conservée.( d'autres ont fini incendiées).
- A Vouziers ,- rien à voir avec la Ligne Hindenburg , mais directement lié à 1914-1918 :- Vouziers a vu naitre un grand ingénieur, chez des petits paysans ( "çà existait ," l'ascenceur social" , même au XIX eme siècle! mais en bossant ! pas en regardant la T.L ou la D.S!) : André CAQUOT -1er Juillet 1881-27 Novembre 1976, (" en même temps que Jean GABIN", dixit ses descendants ,les Kérizel ). Mr CAQUOT, était ingénieur X " 1896" ,; il a fait des ponts en béton armé , dits "ponts Caquot" , à arche supérieure ( et , aprés la guerre, il fallait en reconstruire beaucoup,) et aussi , et surtout , étant capitaine-ingénieur, en 14- 18 , il a inventé et fait " les saucisses" ballons d'observation du champ de bataille : une saucisse tout les 700 à 800 mètres , pour observer d'en haut , parfaitement stable et immobile dans le ciel , à 500 mètres , 1000 ou 2000 mètres de haut , ce qui permettait d ' observer les batteries d'artillerie allemandes, et de leur taper dessus. Illustre oublié ; " il importe de celui qui passe que je sois tombe ou trésor" Paul Valéry. Voir site extra : " les ballons, les aérostiers , et les cerfs-volistes miltaires - dt Saconney- pendant la guerre 14-18". ( "www. carnetdevol.org.fr") ...( CAQUOT :96 ans de vie! çà conserve , l'intellect!)
..... - Manoeuvre allemande : " courant Automne 1917 , les Allemands venaient de réaliser dans la région de Vouziers , ...devant le Kronprinz , une manoeuvre avec les strosstruppen reposant sur la synchronisation absolue et minutieuse des armes. Le résultat a été édifiant : Avance de douze km dans une seule journée" page 187,Le gachis des généraux" Pierre Miquel ; c 'est sur la L.H en construction qu ' a eu lieu cette manoeuvre; c'est la répétition du 21 Mars 1918,et de Mai1918..sur Saint-Quentin et le Chemin des Dames..